Le mois d'Ansuz : X empereur ou impératrice de l'univers impose sa loi cosmique dans l'univers du théâtre...
Il y a 5000 pages : 31 Janvier 2010
La vidéo de la semaine : Le retour des chatons...
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Ansuz, c'est l'inspiration divine, le langage, l'ordre, les dieux, le passage de la sagesse, le son, le chant, la parole...
Enfin, d'après l'application que j'utilise. Pas moins con ou meilleure qu'autre chose vu que l'interprétation qu'on fait des runes ne repose sur aucun savoir ancestral...
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J'ai beau les utiliser parfois dans une sorte d'expérience de la synchronicité ou divination, les runes ne sont qu'un vecteur comme un autre, un vecteur qui me correspond...
 
Et comme le mois prochain je voulais faire du mot du mois scène ou théâtre, eh bien, je me suis fendu du script qui est dans le titre...
 
Là, vous avez des impératrices, demain, je vous mettrai les empereurs...
 
J'ai juste mis les prénoms des gens de mon groupe de théâtre du mercredi ou des filles ayant joué 8 femmes et franchement, ça claque.
 
Pourquoi ? Parce que ton script résume tout ce que tu voudrais qu'il se passe dans ta tête dans le maîtrise de l'art et de la correspondance avec le divin ?...
  
Ah, au départ, il y a un rapport en le théâtre et l'inspiration divine, j'ai mis un truc en résumé après la signature...
 
Hu... Et là, t'as envie de faire un projet où tu mettrais le prénom de plein de gens avec ce script et où tu vendrais des tee-shirts ou des tableaux pour les glorifier ?
  
Ben, maintenant que le script est connu, hein...
 
...
  
Pitin, j'aurais pas dû mettre mon script dans le titre, le cong aurait dû être la conclusion de ce gag, mais non, amusez-vous avec votre prénom, c'est cadeau de l'univers, puisque vous en êtes l'empereur ou l'impératrice...
 
Dédié à cet album FB qui accueillera tous les portraits féminins que je vais générer, tous, pour ne pas avoir généré des images pour rien..
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Selon Aristote, le théâtre est né dans l’Antiquité grecque à partir des fêtes dédiées à Dionysos, le dieu de l’ivresse et de l’inspiration. Le théâtre était alors un culte religieux et civique, où les acteurs et le chœur alternaient des dialogues, des chants et des danses.
Dionysos était aussi le dieu des vignes, du vin, du délire mystique et extatique, du passage vers les enfers, et du théâtre. Sur une même figure divine se superposaient le transport provoqué par le vin, le transport mystique de l’enthousiasme, et celui provoqué par le rythme, la musique et le verbe.
La transe était un état spécifique de l’acteur sur scène, qui lui permettait de s’identifier au personnage qu’il incarnait, et de communiquer avec les dieux ou les esprits. Certains metteurs en scène du 20e siècle, comme Grotowski, ont cherché à retrouver cette dimension rituelle du théâtre antique.