Le mois du N'Artiste : Mon Pôpa, il a parti au Paradis, 20
Il y a 5000 pages : 11 mars 2012 et il y a 22 ans
La vidéo de la semaine : Un cœur en cailloux

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Le père d'Ebatbuok, lunettes noires, barbe courte et blanche, est assis à une table de cuisine. Le père d'Ebatbuok, est habillé dans un style des années 1950 avec un chapeau,
il a l'apparence d'un navigateur breton au long cours. Il fume une cigarette. Devant lui, sur la table, une maquette de bateau de pêche. Image photo réaliste dans des tons sépia...
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...
 
Qu'est-ce que t'en penses, j'en ai généré deux, c'est mieux qu'en crapaud, non ?
Ah pitin. Tu vas pas tout mouliner à l'IA quand même, il a pas du tout ma tronche le marin.
Non mais là, je peux comprendre, imagine, que tu demandes ebatbuok et son père rigolent devant des crêpes e à l'IA...
...
La gueule qu'on aurait pitin...
Bon et sinon, comment ça va l'au-delà ?
J'en sais rien puisque je suis réincarné en petit chinois....
Non mais au départ, c'était une connerie...
C'est pas plus con qu'autre chose. Mais sinon, en Chine, ça va.
Ils... ils font quoi tes parents...
Ils se marrent en regardant la décadence de la civilisation occidentale...
Comment ça ?...
...avec le développement du réseau qui flingue le plus le cerveau : Tik Tok, ils ont participé à sa création.
...
Eh eh eh eh.
 
Bon ok, ebatbuok et son père rigolent en mangeant des crêpes...
 
Dédié aussi au truc qui nous avait fait rire sur cette photo et dont je ne me souviens pas :)


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...
Pitin, ils m'ont mieux réussi que toi.
Pitin de pitin wow...
Croaoaoaoaoaoao, hu hu hu..
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Et bonus pour la gueule qu'on aurait que avec l'IA...


Et encore un bonus, allez, je rajoute le lien de la vidéo de la semaine en avance.



Bonus (un peu plus que les autres années)...

Lorsque l'hiver vient, lorsque la lumière s'éteint...
Je me demande ce que je ferais si tu étais là.
Voici donc dix-neuf ans déjà, tu m'as appelé un mardi.
Tu m'as dit que tu allais partir.
Je t'ai laissé faire.
Je savais.
Tu avais fait ton choix.
Tu es parti comme tu avais décidé.
Tu m'as laissé sans que j'apprenne.
Sans que j'apprenne tout de toi, c'est comme ça.
Lorsque l'hiver étend son manteau d'ombre sur ta tombe.
Je ne suis pas là, je ne peux pas, c'est comme ça.
Là où tu es, il n'y a plus rien pour moi.
J'ai fait aussi mon choix.
Est-ce que tu savais ?
Oui, peut-être...
Mais ici, nous voilà.
Et un nouveau cycle commence.
Enfin, vraiment.. Sans toi.
Avec mon fils comme je peux.
En dépit de la séparation avec sa mère..
Drôles d'années, hein drôles d'années.
Mais qui sait, de quoi l'avenir sera fait...