Mon Pôpa, il a parti au Paradis, 8...
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Ah la la, ça commence bien, j'ai un truc du genre gastro / crise de foie / bide en vrac ET un herpès qui m'ont couché toute la journée où je devais faire cette page...
Je sais que normalement, je ne suis pas bien aux alentours de cette journée anniversaire, mais en rajoutant ces deux conneries à ce que j'ai déjà au quotidien, c'est grâtiné...
_
...
T'as rien à dire ?
C'est pas vraiment un hommage.
J'ai une poésie que je mets plus bas, si tu veux...
 
Ca rime pas...
C'est pas à cause de toi que je suis malade, au moins ?

Nan, t'es malade parce que tu ne sais pas laisser filer les choses, que t'es fatigué et que tu t'es pas lavé les mains une fois avant de manger...
Ah, ben ça va aller alors...
Bon, si ça ne te gêne pas, je retourne à ma vue de petit chinois qui vit dans une ville trop polluée, qui mange du lait intoxiqué et qui se prépare un gros cancer du rectum avant mes 30 ans, ah pitin...
?!?
Dédiéà la relativité des choses et :
Ah pitin, j'espère que si la réincarnation existe, t'es quelque part où tu peux te marrer autant que sur cette photo, tiens...

Retour Novembre 2013 / Page 3678 /© Ebatbuok 2013

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Bonus...
Lorsque l'hiver vient, lorsque la lumière s'éteint...
Je me demande ce que je ferais si tu étais là.
Voici sept ans déjà, tu m'as appelé un mardi.
Tu m'as dit que tu allais partir.
Je t'ai laissé faire.
Je savais.
Tu avais fait ton choix.
Tu es parti comme tu avais décidé.
Tu m'as laissé sans que j'apprenne.
Sans que j'apprenne tout de toi, c'est comme ça.
Lorsque l'hiver étend son manteau d'ombre sur ta tombe.
Je ne suis pas là, je ne peux pas, c'est comme ça.
Là où tu es, il n'y a plus rien pour moi.
J'ai fait aussi mon choix.
Est-ce que tu savais ?
Oui, peut-être...