Chronique Rôliste : ferme ta gueule et joue...
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Cette s'maine, j'ai répété le week-end dernier, j'ai bossé un texte de théâtre lundi et mardi, j'en ai fait la lecture mardi, j'ai répété mercredi soir, je suis allé au théâtre jeudi et vendredi et je suis allé faire de la représentation sociale le samedi après-midi.

Mais là, plaf, le samedi soir, rien au club, c'était un descent - un jeu de plateau proche du jeu de rôle - ou rien...

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Moi, j'ai un tort, je ne me déplace que pour trois choses : le théâtre, le jeu de rôle ou vraiment des grosses soirées avec des copains ou n'amis...
 
Du couuuup, y a eu que de la place pour une partie dimanche après-midi, motorisé sous Icons, où les personnages qui se prennent pour leurs personnages de donjons et dragons se retrouvent confrontés à une invasion dont je tairais le nom en Nouvelle Calédonie...

 

Alors pourquoi est-ce que je tais le nom ? Parce que je fais un playtest du scénario de convention que je vais faire jouer aux dragons libournais, si je peux bien y aller, parce que j'ai toujours bien mal au cou, mais j'ai rendez-vous jeudi chez le neurologue pour voir à quel point...
 
...
 
Humf !!!
 

Pitin, le jeu de rôle, quand même, c'était mieux avant quand on fermait sa gueule sur c'qui s'passe avant et après et qu'on s'contentait d'jouer.

 
Dédié aux vrais rôlistes à l'ancienne...
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/ © Ebatbuok 2013
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